un divorce compliqué (5)

un divorce compliqué (5)Ce jour là, je ne suis pas allé travailler. C'était impossible. Ce qui venait de se passer n'était pas anodin. J'ai passé une bonne partie de la matinée allongé sur le lit, tandis que ma mère s'activait aux taches ménagères. Nous avons mangé rapidement, sans trop parler, puis je lui ai proposé d'aller faire les courses ainsi que les boutiques. Elle était assez enthousiaste de sortir.A 14h, nous arrivions aux grandes surfaces, et nous avons fait nos courses alimentaires pour quelques jours. Puis, poussant le caddy dans la galerie marchande, je proposais à ma mère de faire quelques achats.- Tu ne voudrais pas de nouvelles chaussures ?Ma mère était emballée mais un peu génée.- Tu es sur financièrement ? Ce n'est pas exagéré comme dépense ?- Non, fais toi plaisir.Ma mère entra dans le magasin, et essaya plusieurs paires qui lui plaisaient. Elle était contente, et me demandait à chaque fois mon avis. Comme elle n'arrivait pas à se décider sur deux paires, je décidais de lui prendre les deux. Elle m'embrassa sur la joue en sortant du magasin, avec son sac sous le bras.- Tu ne voudrais pas changer de sac à main, au fait ?Ma mère s'arrêta devant la vitrine d'une maroquinerie chic. - Il y a de belles choses mais c'est tellement cher.- Ca va, j'ai de l'argent qui va rentrer, regarde ton sac à main est usé, tu devrais t'en prendre un nouveau.Ma mère entra dans la boutique, et craqua sur un sac à main à 300 euros. Je lui achetais, et elle m'embrassa à nouveau sur la joue en sortant de la boutique.Ma mère était souriante, j'étais content de la voir ainsi, ça me rappelait quand elle faisait les courses avec mon père, c'est vrai qu'il savait la gâter...Nous allions de boutique en boutique. Elle craqua pour quelques hauts, et remarqua une robe qui lui plaisait. Elle n'était pas sure de la taille dont se rendit en cabine pour l'essayer. La vendeuse faisait des allers retours incessants entre les cabines et les rayons, proposant à ma mère d'autres articles. Ma mère avait bien choisi sa robe, elle lui allait à merveille, elle mettait bien en valeur ses formes. Comme la vendeuse s'éloignait, je rejoignais ma mère dans la cabine d'essayage. Elle avait retiré la robe, se trouvant en soutien gorge et en culotte. Je sortis ma queue en erection de mon pantalon.- suce moi un peu, j'en peux plus.Ma mère me regarda et regarda le rideau. La vendeuse passait régulièrement, entrouvrait le rideau sans complexe pour poser des questions, et ma mère craignait qu'elle ne passe à nouveau.- elle renseigne une autre cliente, lui dis-je.Ma mère se mit à genoux devant moi et engouffra ma queue dans sa bouche. J'attrapais sa tête et me mis à lui donner des coups de queue fougueux dans la bouche, faisant taper mon gland contre sa gorge. Ma mère sortit de mon emprise en reculant la tête et en me regardant avec surprise. - Ouvre ta bouche, salope.Je lui donnais deux petites giffles sur sa poitrine, au niveau des mamelons, à travers le soutien gorge.Je rattrapais ma mère par la tête et me remis à lui baiser la bouche furieusement. Elle me laissa faire, pantoise, comme un pantin. Elle toussota un peu.Après deux minutes, je remis mon pantalon en place, et sortit furtivement de la cabine d'essayage. Je n'avais pas joui, mais je m'étais fait du bien. Physiquement déjà, c'est toujours bon de mettre sa queue dans une bouche. Et pour rappeler à ma mère qu'avec tous ces achats, elle se mettait encore un peu plus sous mon emprise, elle m'était encore davantage redevable. Elle devait m'être encore plus reconnaissante. Bien entendu, cela n'était pas verbalisé, mais cette information faisait son chemin dans nos esprits.Passant devant un magasin de lingerie, je fis signe à ma mère de me suivre. Elle regardait les rayons, mais c'est moi qui la guidait. Evidemment, une vendeuse vint à notre rencontre, un peu étonnée de notre différence d'age, mais ne dit rien. Elle pouvait imaginer que je sortais avec une cougar, en tout cas je doute qu'elle ait pu imaginer que je choisissais la lingerie de ma mère.J'ai toujours aimé la lingerie chic et très transparente, c'est vers ce type d'articles que nous nous sommes approchés. Je choisissais deux ensembles culotte soutien-gorges, l'un noir, l'autre blanc, avec de petits motifs brodés, et de la dentelle transparente un peu partout.- J'aime voir ta chatte en transparence.Je payais les articles, à la vendeuse qui regardait ma mère avec insistance et étonnement. Ma mère bassait les yeux, évitait son regard, faisait celle qui pensait à quelque chose d'autre. En sortait, je dis suffisamment fort : "allez, viens maman".En rentrant à la maison, il y eu quelques embouteillages. Normal, il était 17h. Les gens rentraient chez eux après une journée de travail. Moi, j'avais passé une journée de détente, et j'étais impatient de rentrer. Ma mère aussi, mais pour une autre raison. Elle avait envi de pisser depuis un moment, et les toilettes de la galerie marchande étaient en travaux. Il fallut 20 minutes pour rejoindre le studio. Je posais tous les sacs sur la table, tandis que ma mère se rendait à la salle de bain. Je la rejoignais, tandis qu'elle avait baissé sa culotte et s'asseyait sur la cuvette. - Ecarte les cuisses, je veux te voir.- Oh, s'il te plait... (elle était enervée car se retenait depuis longtemps)Je vis son jet jaillir de sa fente, que dis-je un jet, un vrai flot de pisse, giclant abondement. Je la regardais, en croisant les bras. Elle, le regard baissé, pissait fort dans les toilettes. Quand elle eut fini, je déboutonnais les boutons de son chemisier, et l'ouvrait, pour mettre à nu son soutien-gorge. Je sortis ma queue, m'approcha bien, et lacha un long jet de pisse sur les seins de ma mère.- Moi aussi, j'avais envi...Ma mère me regarda, tandis que je pissais sans discontinuer sur ses seins, et ma pisse coulait sur son ventre, dans son pubis, ses cuisses, pour couler dans les toilettes et par terre également.Ma mère ne disait rien, elle attendait. Une fois avoir fini d'uriner, je passais ma main dans sa toison trempée, pour plonger deux doigts dans sa chatte. Je me mis à la doigter fort. Rapidement, je pus entendre son petit bruit mouillé caracteristique, et elle se mit à gémir. Je la fis jouir aux doigts, en la travaillant vite, je lui ecartais les jambes en grand sur les toilettes, je lui ouvrais les levres de sa chatte, je plongeais mon regard dans son intimité largement ouverte.Je regardais ses levres ouvertes, son vagin bien large dans lequel je plongeais mes doigts, son petit uretre juste au dessus, et son clito bien gonflé. Je la sentis jouir, elle poussa un long soupir, je sortis mes doigts d'un coup de sa chatte. Quelques gouttes de pisse, et de mouille, coulèrent doucement de sa vulve.Je pris le sac de lingerie sur la table, et retourna à la salle de bain pour tendre l'ensemble blanc à ma mère.- Tiens, enfile ça.Je retournais dans la pièce pour ranger nos courses, et ma mère me rejoignis deux minutes plus tard, portant uniquement la lingerie que je venais de lui acheter. Elle m'aida à ranger les courses. Rangeant les conserves, elle se penchait légèrement en avant.- Reste comme ça, lui dis-je en baissant sa culotte à mi-cuisses.J'écartais ses fesses et contemplait son anus. Cela était sans doute le tabou ultime. Je sortis ma queue, et la plaça entre les fesses de ma mère. Elle se raidit un peu. Je frottais mon gland contre son anus.- Je vais t'enculer, maman.Je pris une bouteille d'huile de margarine que nous venions d'acheter, et en fit couler un peu entre ses fesses et sur ma queue. Je représentais mon gland entre ses fesses, et força un peu.Ma mère poussa un long soupir. Ma queue entrait dans son cul. En entier. Jusqu'à la garde. Je me sentais serré comme jamais, contrairement à sa chatte. C'était incroyablement bon. Ma mère était penchée en avant, je la voyais, portant la lingerie chic que je venais de lui acheter, avec ma queue au fond de son cul.Je me mis à l'enculer fort. Elle rala, poussa des soupirs, des petits cris, me regarda, regarda devant elle, saisit le bord de l'évier pour se maintenir en position... Je ne changeais rien de ma cadence, forte, et je baisais son cul comme jamais.Au bout de 10mn, son cul était moins serré, j'étais plus à mon aise, je la tenais pas les seins... Je me redressais un peu, pour admirer ma queue rentrer et sortir du cul de ma mère. C'était tellement bon, je ne pouvais plus tenir. Je sortis ma queue, et gicla abondement entre ses fesses, arrosant à la fois son cul, et sa chatte. Je repris un peu mes esprits (elle aussi), et je remontais sa culotte. Elle sentait un mélange de pisse et de sperme. Elle me regarda. Contre toute attente, elle me fit :- Tu as cherché à me faire plaisir, tu m'as comblée de cadeaux. Et je sens ton désir si intense quand on est ensemble. Grace à toi, je me sens à nouveau une femme.Allez comprendre, à priori elle était ravie.Ma mère avait été sodomisée deux fois auparavant dans sa vie, je n'appris cette information que bien plus tard.(à suivre)